Un post au début du mois et puis rien, alors que pourtant, plein, trop plein ça déborde de partout et ça tchatche. Réunions de docs, stages, conversations entre deux portes, actualité professionnelle, avis de bloggeurs, vie de doc et vie de blog, vie tout court, j'ai du mal à faire des phrases courtes.
Besoin de parler, de lire, d'exister.
Paroles de bibliothécaires frustrées et dynamiques, enthousiasmantes (à deux, c'est mieux)
Paroles de livres qui se refusent à moi (Drood de Dan Simmons)
Paroles d'albums (Anne Herbauts, les moindres petites choses)
Paroles d'élèves lecteurs aventuriers mises en bulles
Paroles de bloggueuse chiffonnée qu'on souhaite suivre en la laissant tranquille (...)
Paroles éléctroniques d'amie mal en point pleines de vie
Paroles téléphonées des parents qui se passent bien et font du bien
Paroles d'amour sans Dalida avant 06h30 du matin
Paroles de chanson écoutée un peu fort même si elle chuchote d'abord (Feist, comfort me)
Paroles de cuisine traduites et converties (All american pie, une tourte à la pâte fine, purée de pommes muscade-cannelle) avant d'être dégustées
paroles de voisin qui réveille dans la nuit
et en fourre tout final :
navet, moutarde, Saint Nicolas de Bourgueil, petite pomme sucrée, café trop fort pour 12, sablé breton par paquets de deux, gingembre frais, épaule d'agneau, levure chimique, macaron chocolat sans collerette.
26/01/2012
06/01/2012
Think tank, pour une fois.
Suite à un message noyé dans une liste de diffusion, je suis allée lire cet article : Besoin d'une classe moyenne d'enseignants documentalistes.
J'y ai répondu dans la foulée mais mon message est tombé aux oubliettes et je n'ai pas la force de réécrire tout ce qui m'est passé par la tête à cet instant. Cet article parle des blogueurs documentalistes et de l'absence d'ouverture vers l'extérieur. L'auteur parle de la nécéssité de se regrouper et de construire des liens avec les parents, les collègues...pas seulement pour se faire connaître mais surtout pour grossir, se constituer en groupe de pression et faire bouger les choses. (Je résume très grossièrement) et je me suis sentie concernée.
Ce blog n'est pas dans l'action, il est davantage dans le ressenti.
J'ai énormément de mal à prendre position sur les orientations professionnelles qui nous pendent au nez. J'ai l'impression qu'on m'empêche de travailler et qu'il est très difficile de dire ce que l'on pense et de refuser d'appliquer des directives tout en conservant son intégrité, sa conscience professionnelle pour ne pas se suicider hiérarchiquement parlant, hélas. J'ai envie de hurler comme d'habitude, et j'ai beau écrire en mon nom, je ne sais pas si je suis de taille à lutter et à dépasser mes posts d'humeurs lunatiques qui font que je suis une vraie prof-doc, multitâches, en surcharge cognitive perpétuelle, de plus en plus dépitée et de plus en plus enragée.
Lu dans un numéro du BBF, "Métamorphoses de la lecture",ces articles, qui participent des évolutions en CDI :
Lire sur Internet, est-ce toujours lire?
Les adolescents et la lecture, 15 ans après
En ligne, en rangs, en joue?
Point de détail : pas mal de blogs de docs parlent aussi d'autre chose et touchent ainsi d'autres publics : lecture, cuisine, vie quotidienne, vie de famille....autant de sujets qui permettent aux gens de découvrir des petits détails du métier, c'est toujours bon à prendre.
Quand je pense que je pensais écrire mon premier post de l'année par un bilan culinaire...
J'y ai répondu dans la foulée mais mon message est tombé aux oubliettes et je n'ai pas la force de réécrire tout ce qui m'est passé par la tête à cet instant. Cet article parle des blogueurs documentalistes et de l'absence d'ouverture vers l'extérieur. L'auteur parle de la nécéssité de se regrouper et de construire des liens avec les parents, les collègues...pas seulement pour se faire connaître mais surtout pour grossir, se constituer en groupe de pression et faire bouger les choses. (Je résume très grossièrement) et je me suis sentie concernée.
Ce blog n'est pas dans l'action, il est davantage dans le ressenti.
J'ai énormément de mal à prendre position sur les orientations professionnelles qui nous pendent au nez. J'ai l'impression qu'on m'empêche de travailler et qu'il est très difficile de dire ce que l'on pense et de refuser d'appliquer des directives tout en conservant son intégrité, sa conscience professionnelle pour ne pas se suicider hiérarchiquement parlant, hélas. J'ai envie de hurler comme d'habitude, et j'ai beau écrire en mon nom, je ne sais pas si je suis de taille à lutter et à dépasser mes posts d'humeurs lunatiques qui font que je suis une vraie prof-doc, multitâches, en surcharge cognitive perpétuelle, de plus en plus dépitée et de plus en plus enragée.
Lu dans un numéro du BBF, "Métamorphoses de la lecture",ces articles, qui participent des évolutions en CDI :
Lire sur Internet, est-ce toujours lire?
Les adolescents et la lecture, 15 ans après
En ligne, en rangs, en joue?
Point de détail : pas mal de blogs de docs parlent aussi d'autre chose et touchent ainsi d'autres publics : lecture, cuisine, vie quotidienne, vie de famille....autant de sujets qui permettent aux gens de découvrir des petits détails du métier, c'est toujours bon à prendre.
Quand je pense que je pensais écrire mon premier post de l'année par un bilan culinaire...
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